La SQI collabore aux travaux de construction d’un nouveau complexe scientifique à l’Université Laval

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L’Université Laval et l’Institut nordique du Québec (INQ) ont annoncé le lancement des travaux pour la construction du nouveau complexe scientifique de l’INQ.

Le 22 février, l’Université Laval et l’Institut nordique du Québec (INQ) ont annoncé, lors de la cérémonie de la première pelletée de terre en compagnie de leurs différents partenaires, le lancement des travaux pour la construction du nouveau complexe scientifique de l’INQ, un projet pour lequel la SQI est en association. 

La construction de ce pavillon permettra de regrouper, sur le campus de l’Université Laval, les activités de l’INQ. Avec une mise en service prévue en 2026, le complexe scientifique de l’INQ deviendra une plaque tournante de la recherche nordique au Canada et à l’international. En effet, ce milieu d’échange et d’innovation permettra d’approfondir les connaissances nécessaires au développement durable du territoire nordique québécois. 

D’une superficie approximative de 10 400 m2, ce pavillon, qui sera relié aux autres pavillons de l’Université, constituera un carrefour pour plusieurs centres québécois d’excellence nordique en plus de contribuer à résorber le déficit d’espace de l’Université Laval. Il comprendra des installations spécialisées, telles que des laboratoires, des entrepôts et des ateliers d’innovation technologique et de préparation des missions nordiques en milieux terrestres et marins, ainsi que des aires collectives et publiques pour la diffusion du savoir.

M. Jean-Éric Tremblay, professeur au Département de biologie de l’Université Laval et directeur de l’INQ, a mentionné lors de la conférence de presse : « La transformation accélérée des environnements nordiques redessine les contours du développement social et économique et s’ajoute aux multiples enjeux qui déjà touchaient leurs habitants et leur bien-être. Aujourd’hui, nous nous dotons de moyens concrets pour mieux comprendre et anticiper ces transformations, proposer des solutions durables et accroître notre résilience collective. À cet égard, les espaces de rencontre, de création et de diffusion intégrés au complexe favoriseront la construction de projets avec les communautés du Nord et la formation d’une relève étudiante et professionnelle outillée pour y travailler ».